MA VOIX, DANS LE VIDE!
Mon appel s’est- il à ce point égaré ?
Ou l'engeance des médisants m'a-t-elle devancé ?
Pour te dire: tu as entraîné ta ruine,
Pauvre naïve qui a foi en lui et indigne !
" Tu te souviens de son indignité :
Il avait rompu les liens tissés.
Il se traîne aujourd'hui à tes pas,
Si tu te penches vers lui plus bas,
C’est ta ruine, c’est certain
Pauvre folle qui a foi en lui. "
Tu as enduré plus d'un récit,
Lorsque tarda mon retour divin
Les affres te torturaient les entrailles,
Le cœur se fendit en son milieu vital
Souviens-toi de notre ancien foyer
Lorsque tu y vins jeune épousée.
Il pourrit aujourd'hui comme un ver de terre ;
Les jours corrupteurs contre lui prolifèrent,
Ces même jours qui nous ont terrassés.
Nous n'avons aucune demeure fondée,
La détresse est ma seule sentinelle
Où que j'aille ton visage me hante et me rend cruel
Je me débats avec la souffrance
Un mal sans remède a abattu mes espérances.
Il assaille mon corps de forces étrangères
La mort est ma prétendante journalière :
Je crains de ne plus te revoir à jamais...
Nous n'avons même pas d'enfants désormais.
Qui fussent prétexte à notre rencontre d’hier
Les ténèbres nous étouffent comme un enfer,
Et nulle épreuve ne nous tient pour quittes ;
Où est donc l'époque heureuse
Où notre amour arborait ses fleurs sauvages ?
La grêle y a fait son carnage.
Allons suivre plutôt les flots de loisirs
Des jours à rebours de nos désirs.
Inspiration (paroles et musique de Matoub Lounès)
https://amakrim.blogspot.com/2016/06/10-ma-voix-dans-le-vide.html
https://youtu.be/ADLlV4CeEZg
Ou l'engeance des médisants m'a-t-elle devancé ?
Pour te dire: tu as entraîné ta ruine,
Pauvre naïve qui a foi en lui et indigne !
" Tu te souviens de son indignité :
Il avait rompu les liens tissés.
Il se traîne aujourd'hui à tes pas,
Si tu te penches vers lui plus bas,
C’est ta ruine, c’est certain
Pauvre folle qui a foi en lui. "
Tu as enduré plus d'un récit,
Lorsque tarda mon retour divin
Les affres te torturaient les entrailles,
Le cœur se fendit en son milieu vital
Souviens-toi de notre ancien foyer
Lorsque tu y vins jeune épousée.
Il pourrit aujourd'hui comme un ver de terre ;
Les jours corrupteurs contre lui prolifèrent,
Ces même jours qui nous ont terrassés.
Nous n'avons aucune demeure fondée,
La détresse est ma seule sentinelle
Où que j'aille ton visage me hante et me rend cruel
Je me débats avec la souffrance
Un mal sans remède a abattu mes espérances.
Il assaille mon corps de forces étrangères
La mort est ma prétendante journalière :
Je crains de ne plus te revoir à jamais...
Nous n'avons même pas d'enfants désormais.
Qui fussent prétexte à notre rencontre d’hier
Les ténèbres nous étouffent comme un enfer,
Et nulle épreuve ne nous tient pour quittes ;
Où est donc l'époque heureuse
Où notre amour arborait ses fleurs sauvages ?
La grêle y a fait son carnage.
Allons suivre plutôt les flots de loisirs
Des jours à rebours de nos désirs.
Inspiration (paroles et musique de Matoub Lounès)
https://youtu.be/ADLlV4CeEZg
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