KENZA!
Le ciel pâlit, c’est le déluge, c’est la crue
La pluie lave les dalles, maisons et rues
Les rivières mugissent atrocement
Les terres et alluvions croulent fortement,
Du fond de la pierre tombale, une supplique jaillissant,
Dans sa douleur hurlante: ô mes enfants!
Même si la dépouille disparaît
La pensée ou l’âme, ne meurt jamais.
Si les cols à franchir sont âpres et durs
A l'épuisement nous trouverons un remède, c’est sur.
S’ils anéantissent tant d'étoiles illuminées
Le ciel, lui, ne sera jamais fragilisé.
Ils ont scellé notre sort depuis millénaire,
Bien avant ces jours de tragédie d’enfer
Les persécuteurs de la connaissance
Étendent la désolation et l’intolérance.
Ils ont tué Rachid Tigziri, Boucebci
Smail, Liabès et Flici.
Inspiration (paroles et musique de Matoub Lounès)
https://amakrim.blogspot.com/2016/06/13matoub-kenza.html
La pluie lave les dalles, maisons et rues
Les rivières mugissent atrocement
Les terres et alluvions croulent fortement,
Du fond de la pierre tombale, une supplique jaillissant,
Dans sa douleur hurlante: ô mes enfants!
Même si la dépouille disparaît
La pensée ou l’âme, ne meurt jamais.
Si les cols à franchir sont âpres et durs
A l'épuisement nous trouverons un remède, c’est sur.
S’ils anéantissent tant d'étoiles illuminées
Le ciel, lui, ne sera jamais fragilisé.
Ils ont scellé notre sort depuis millénaire,
Bien avant ces jours de tragédie d’enfer
Les persécuteurs de la connaissance
Étendent la désolation et l’intolérance.
Ils ont tué Rachid Tigziri, Boucebci
Smail, Liabès et Flici.
Inspiration (paroles et musique de Matoub Lounès)
https://amakrim.blogspot.com/2016/06/13matoub-kenza.html
https://youtu.be/xzWMQK9zxMw
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